Pas d’EFEST sans l’Acropolium! La Cathédrale de Carthage accueillera le temps d’un soir trois performances audiovisuelles d’artistes emblématiques de la scène électronique.
AU PROGRAMME
Murcof & Simon Geilfus (ANTIVJ) (MEX/FR)
L’une des expériences audiovisuelles les plus immersives qui soit. Simon Geilfus du label AntiVJ, et le compositeur mexicain Murcof, vous invitent à entrer dans leur monde hypnotique le temps d’une soirée.
L’univers visuel d’AntiVJ entre ici en écho avec les compositions atmosphériques et captivantes de Murcof pour une performance éthérée et envoûtante, soutenue par une impressionnante scénographie vidéo procurant l’illusion d’un cosmos tridimensionnel.Entre design graphique et programmation informatique, Simon Geilfus développe ses propres
outils au service d’un art interactif et génératif dans la lignée de John Maeda ou Joshua Davis.
Les compositions minimalistes et post-modernes de Murcof empruntent aussi bien à la musique classique qu’aux précurseurs de la musique électronique tel que Tangerine Dream. Ses collaborations prestigieuses avec notamment le pianiste Francesco Tristano ainsi que ses trois albums salués par la critique font de lui un artiste incontournable de la scène électronique.
Nées de leur rencontre à l’occasion du Venn Festival à Bristol puis programmées lors de prestigieux évènements tels que Mutek (Canada) ou Futuresonic (RU), les performances audiovisuelles de Murcof et Simon Geilfus constituent à chaque fois une création sonore et visuelle unique et inédite.
Robert Lippok (GER)
L’artiste visuel et compositeur allemand d’avant-garde Robert Lippok est un musicien très influent sur la prolifique scène musicale expérimentale berlinoise depuis de nombreuses années.
Pour EFEST il présentera sa dernière composition audio-visuelle daytimeastronomy, inspirée de Redsuperstructure.
Byetone (GER)
S’il est resté trop discret pour devenir une superstar, Olaf Bender, l’Allemand derrière Byetone, n’est rien d’autre que le cofondateur du label techno Raster-Noton (avec Frank Bretschneider) et responsable de son identité visuelle. Il affectionne une techno dure, froide et industrielle, proche d’un minimalisme qu’il ne veut pas voir disparaître, en total accord avec ses visuels géométriques étourdissants.